Réhabilitation d’un immeuble de bureaux pour y implanter une école de commerce
Nantes, livraison 1re phase septembre 2017, 2e phase mai 2018
Client
AMOS Business School
Concepteurs
Ramsés Salazar architecte
designer graphique
Nicolas Portnoï
Phases
De l’esquisse au suivi du chantier, mobilier
Coût
800 K€ HT
Surface
900 m²
Client
AMOS Business School
Concepteurs
Ramsés Salazar architecte
designer graphique
Nicolas Portnoï
Phases
De l’esquisse au suivi du chantier, mobilier
Coût
800 K€ HT
Surface
900 m²
Un chantier en milieu occupé

Pour réhabiliter les 900 m² de ce bâtiment administratif des années 1990, situé dans le quartier universitaire de Nantes, et pour transformer ses 3 niveaux en une école de management sportif, la difficulté était de mener à bien un chantier en milieu occupé, les étudiants de licence et de master continuant à travailler au 1er étage. Les travaux se sont par conséquent organisés en deux phases. D’abord au rez-de-chaussée et au 2e étage, avec un suivi de chantier étroit qui a permis d’éviter les nuisances et de respecter les délais. L’année suivante, les étudiants ont investi le rez-de-chaussée et le 2e étage tandis que la seconde phase des travaux se déroulait au 1er étage.

Un espace unifié et apaisant

L’idée directrice a consisté à rééquilibrer les trois niveaux, en créant des salles de cours pour chacun mais aussi en prévoyant deux salles de vie (coworking, détente, cafétéria). L’une est située à l’entrée, en contact avec l’extérieur, signe d’hospitalité ; l’autre est au 2e étage, pour profiter de la terrasse. L’emploi du bleu outremer, allié au gris des matières, unifie l’espace et confère de la sérénité aux lieux. Par leurs qualités acoustiques, les faux plafonds en fibres de bois contribuent eux aussi à la concen­tration des étudiants.

Décloisonner pour illuminer

Pour que la lumière naturelle (venant des multiples fenêtres disposées sur les quatre côtés du bâtiment) parvienne jusqu’au cœur de l’établissement, l’ensemble de l’espace a été décloisonné. Aux parois pleines ont succédé des cloisons vitrées. Toujours pour libérer le regard, le deuxième escalier — créé de manière à répondre aux normes ERP — a été placé à l’extérieur du bâtiment. En revanche, le projet a volontairement conservé la structure porteuse, dans un souci à la fois écologique, économique et architectural. Garder les poteaux permet en effet de montrer la trame poteaux-poutres de l’édifice originel. Les plafonds béton exhibent eux aussi leur esthétique brute.

Photo projet © Cyrille Lallement
Photo projet © Cyrille Lallement
Photo projet © Cyrille Lallement
Photo projet © Cyrille Lallement
Photo projet © Cyrille Lallement
Photo projet © Cyrille Lallement
Photo projet © Cyrille Lallement
Photo projet © Cyrille Lallement
Photos © Cyrille Lallement
Plans du projet